La Chapelle de l'ancien hôpital de Romans s'ouvre à un projet de restauration et d'expositions d'art moderne et contemporain autour de l'oeuvre de DANIEL OGIER
Jeudi 24 Avril 2014 20h30, Théâtre des
Cordeliers à Romans, (Entrée libre sans
réservation)
Mardi 22 avril 2014 à 20h, Théâtre Bel Image à
Valence.(Entrée libre sur
réservation au Crd de Valence 04 75 78 50 80 à partir du lundi 14 avril)
Projet des Départements de musique ancienne, danse et chant des
Conservatoires de Romans et Valence.
Sur une proposition
d'Emmanuelle Cassard, professeur de Harpe à Romans, les Conservatoires de
Romans et de Valence unissent leurs forces pour tenter une recréation du ballet
de Flore de Lully, autour d'une proposition chorégraphique de Jean Marie
Belmont et Anouk Mialaret, spécialistes de la danse baroque.
L'Oeuvre :
Dernier ballet que dansa
Louis XIV et ultime représentant du ballet de cour traditionnel, le Ballet de
Flore fut créé dans le grand salon des Tuileries le 13 février 1669.
Dans l'oeuvre de Lully,
ce ballet représente donc une avancée importante vers l'opéra.
Représenté pour célébrer
le retour de la paix en Europe, le divertissement était tout entier à la gloire
de Louis XIV, dont ce fut l'une des apparitions en soleil sur la scène.
L'argument du ballet, en
15 entrées est celui de la métamorphose de Flore, déesse du printemps, sur un
poème d'Isaac de Benserade.
Les costumes sont signés
Daniel Ogier, (et proviennent d'un dépôt fait par la Ville de Lyon à l'association "La chapelle de Romans ") qui avait réalisé ceux de la Serva Padrona l'an dernier. Le
plateau rassemblera plus de cent apprentis artistes, musiciens de tous âges,
chanteurs, danseurs, dirigés par Marie-Hortense Lacroix. Cette réalisation
collective s'est faite grâce à la collaboration d'une équipe de professeurs de
Romans et Valence : Emmanuelle Cassard (coordination), Annie Pérard, Alexandra
Jasseny (danse), Agustina Merono, Esteban Gallegos, Véronique Méjean, Wanda
Kozyra, Hélène Tisserand, Odile Dovin-Morel, Ombeline Challéat, Frédéric
Mourguiart (instrumentistes et chanteurs)
Arrivée des costumes transportés par Pierre et Martine Philibert membres de l'association accompagnés d'une amie, aidés par d'autres membres comme Eric Chabert, Jean Pierre Devoize, Aurélien et Alain Guichet et Paquita Nieto.
SÉANCE D'ESSAYAGE AU CONSERVATOIRE DE ROMANS :
Les essayages, corrections et mis à la taille des costumes sont réalisés par des membres de l'association "LA CHAPELLE DE ROMANS" Malika Mihoubi, Paquita Nieto et Daniel Ogier.
Daniel Ogier et Philippe Blache dans le rôle de duc de Mantoue ( Rigoletto)
Françoise Bessette
Marie-Hortense Lacroix directrice du Conservatoire de Romans et chef d'orchestre, Daniel Ogier et Astrid de Belleville dans le rôle de Gilda ( Rigoletto)
Daniel Ogier et Anne-Marie Gibert
Anne-Marie Gibert dans le rôle de Maddalena ( Rigoletto)
Rodrigue Beeke dans le rôle de l'hiver ( ballet de Flore)
5 minutes avant l'entrée sur scène
Le théâtre affichait complet lors de la réprésentation à Romans
Pour les saluts les professeurs sont aussi montés sur scène sous les applaudissements du public
GRAN ÉXITO DE LA PRIMERA EXPOSICIÓN "DOCUMENTOS DE IDENTIDAD" PROPUESTA POR LA CHAPELLE DE ROMANS:
LES COMMISSAIRES DE L'EXPOSITION
Daniel Ogier Jorge Rodríguez de Rivera
PARCOURS PHOTOS DE L'EXPOSITION:
POUVOIR, POUVOIR,
QUAND TU NOUS TIENS.......
Empereurs, papes, princes, généraux, tous arrivés au pouvoir veulent fixer pour l’éternité leur image et se font metteurs en scène de leur identité.
Cependant les habitudes, les moeurs, les traditions, toutes choses dans lesquelles ils baignent, leur soufflent, parfois à leur insu, quelques détails insolites, et le peintre parfois y participe.
Dans l’apparat le plus solennel les détails étranges font l’objet d’une enquête qui peut faire vaciller les certitudes car “La soif de dominer est celle qui s’éteint la dernière dans le coeur de l’homme” (Nicolas Machiavel).
Durant tout le Moyen Âge l’homme vit sous la dépendance autoritaire du divin, central et incontournable.
Il ne trouve qu’une petite place de donateur ou d’orant dans un coin d’une oeuvre d’art votive qu’il paie à prix d’or. Mais c’est pour ce prix d’or qu’il grandit jusqu’aux prémices de la Renaissance et finalement occupe toute l’image. En occident le portrait est né avec l’humanisme et l’économie moderne.
Notre époque ignore ces codifications et leurs erreurs car notre identité est un produit volé à notre intimité par des mitraillages répétitifs qui ne visent qu’à confirmer, heure après heure et artificiellement, notre existence. Nous sommes devenus les paparazzi les uns des autres.
MILITAIRES,
RELIGIEUX ET ENFIN...... BOURGEOIS.
Voici, après
les puissants, les différentes facettes de l’ancienne société dont le panorama
servira de base avant de continuer sur d’autres pistes.
Nous
avançons dans le temps et dans les fonctions et, petit à petit, les signes et
les couleurs disparaissent pour finir dans la discrétion funèbre de la
bourgeoisie du XIXème.
“Enrichissez vous” disait Monsieur
Thiers.
Voilà
un vrai investissement qui ne leur laisse que leur masque: ors, bijoux,
velours, perruques, dentelles. En un siècle tout est parti dans la course
matérialiste, le décor a fondu, le roi est nu. Discrète dans le costume, la république
récupérera tout de même les palais princiers et un train de vie presque monarchique.
CHARME, ARME SECRÈTE...
Après
la puissance du pouvoir, celle des militaires, ou de la religion, penchons nous
sur un des aspects non négligeable du portrait: le charme.
On peut tomber amoureux d’un
portrait, mais à l’époque était-ce la première marche d’une conquête?
Ces belles femmes au sourire
enjoleur savaient très bien les ravages qu’elles pouvaient déclencher à
distance dans les coeurs, des coeurs choisis avec stratégie, bien sûr.
Le portrait est envoyé dans
toutes les Cours ou familles parfois à l’autre bout de l’Europe. Les peintres
sont de grands voyageurs, de la
Russie, à l’Empire Turc ou même au Japon, tout comme leurs
clients qui font le “Grand Tour” (de là, le tourisme) visitant les pays sous de fausses identités comme en 1782, sous
le nom d’emprunt de “Comte du Nord”, le grand duc de Russie et futur Tsar Paul 1er.
Les ambassadeurs ottomans
demandent à voir Madame de Pompadour en privé avant de présenter leurs lettres
de créances au roi Louis XV: ils voulaient voir la plus belle femme du royaume.
Notre époque moderne donne un retentissement
mondial à ces icônes féminines, mises en avant par leurs conjoints dans des
buts parfois politiques où leur influence est parfois importante comme Eva
Peron, Jackie Kennedy ou Diana, la plus atypique.
BIZARRE, BIZARRE,
VOUS AVEZ DIT BIZARRE?...
Si
des artistes visent à fixer avec le plus d’exactitudes possible, par des moyens
figuratifs impressionants, la réalité du modèle, il en est d’autres qui se laissent
prendre au jeu d’étranges comportements: déformations, symboles, effets de
matière ou d’optique, délires inexplicables qui font disparaître le cher modèle
au profit d’une création dans laquelle, malgré tout, on retrouvera “bizarrement” les caractéristiques
de ce dernier.
Dans
cette optique, plusieurs tentatives, visant à fixer le sous-jacent étrange derrière
une normalité de façade, ont été faites.
Au
XVIIème siècle, le peintre du roi Le Brun dessine une typologie des visages
déduite de gueules animales; certains seraient proches du cheval, du lion ou
d’un oiseau, comme le montre ces dessins qui veulent faire entrer de force le
bizarre dans le naturel ou le contraire. L’extraordinaire travail de l’autrichien
Franz Xaver Messerschmidt (1736-1783) sur des têtes de caractère, nous entraine
aux frontières de la folie.
Le
suisse Johann Kaspar Lavater (1741-1801) théorisera le travail du sculpteur
dans un ouvrage célèbre: “l’art de reconnaître les hommes par la
physionomie”, dans la tradition et la suite des ouvrages arabes ou
italiens de la Renaissance.
On croit pouvoir tout expliquer de ce
qui est le plus grand théâtre du monde, le visage humain et même
“La
signification des protubérances du crâne, relative aux facultés et qualités de
l’homme”, bizarre, bizarre.....
DE L’INVENTAIRE
COLONIAL.....
Lorsqu’à
l’époque romantique les artistes comme Delacroix voyagent en Afrique du Nord,
ils découvrent un monde de couleurs et de lumières bien différent de la France de Monsieur Thiers, où
leurs sentiments romantiques sont étouffés. L’idée d’infériorité de race ou de
valorisation de la société occidentale ne s’oppose pas encore à la fascination
de nouvelles cultures.
Cependant
en même temps que l’industrialisation établissait peu à peu le culte de
l’argent, après 1830 et des trois glorieuses, l’intérêt change. Il y a une mise
en demeure pour ces peuples nouvellement découverts d’adhérer à nos valeurs: la notion d’inventaire (il y aurait
donc un prospecteur habilité à lister?) remplace la fascination, l’homme fort
civilisé prend forme face au sauvage destructuré: les zoos humains des
expositions coloniales prolifèrent dans toute l’Europe, Paris, Marseille,
Londres, Amsterdam voient se construire derrière les grilles de faux décors pour
des vrais indigènes importés pour figurer devant des milliers de visiteurs.
Nous
avons choisi de rappeler cette période lamentable mais en montrant quelques
portraits d’artistes qui ont su, par contre, garder un regard humain sur ces
civilisations au début du XXème siècle.
AU TÉMOIGNAGE DES
VISAGES....
Les
photographes feront par la suite un travail extraordinaire en toute humilité et dans l’admiration de ces
pays lointains, redonnant une bouffée de romantisme avec les couleurs et les
lumières de Delacroix mais sur papier glacé.
“Je
réponds ordinairement à ceux qui me demandent la raison de mes voyages que je
sais bien ce que je fuis, et non pas ce que je cherche” (Michel de Montaigne)
ÉCRIS ET DÉCRIS
MOI................
Le
monde des peintres, des musiciens et des écrivains est plein de rencontres
extraordinaires: c’est de l’art, car l’art peut être aussi un comportement.
Rien d’étanche, rien d’interdit, rien d’impossible dans cette galaxie d’énergie
en perpétuel mouvement. Ne soyons donc pas étonnés qu’un peintre (Michel Ange)
compose des sonnets magnifiques, qu’un écrivain (Victor Hugo) dessine des
paysages fantastiques, qu’un sculpteur (Benvenuto Cellini) nous livre ses
délirantes mémoires d’un génie de la Renaissance. Voici
donc des rencontres entre des écrivaints et des personnages historiques ou
contemporains, entre illustrateurs et hommes de lettres. Mais cette ruche, sous
l’effet de quelques maladies environnementales, perd de jour en jour ses
ouvriers, et à l’époque de la communication forcenée, peu échangent, entre eux,
barricadés dans leur égo.
MASQUES DE CARNAVAL
“Masque pour le carnaval” par Erhard Stiefel pour le film “Molière” de Ariane
Mnouchkine (1976)
résine et polystyrène peint.
Collection privée Paris
“Masque d’Arlequin” par Nicole Princet
carton, tissu, verre et peinture.
Collection privée Paris
“Masque
vénitien traditionnel”
carton noir, modèle du XVIIIème siècle.
Collection privée Paris
On
n’échappera pas à Romans à une présentation de quelques masques de carnaval qui
sont des portraits aux identités renversées, le pauvre devient roi et le nanti
joue le misérable, chacun se lachant et se cachant derrière un nouveau visage
en carton peint, fait ce que sa position ne lui permet pas hors du carême.
L’image entière de la société, son portrait officiel,
est alors perturbé jusqu’à l’affrontement violent du carnaval de Romans en 1580.
LES MINI -
ENVAHISSANTS...
Sorte
de Gremlins, ces petits monstres si mignons avec leur fourrure et leurs grandes
oreilles, les mini envahissants peuvent
dériver du portrait et n’ont de raison d’être que leur prolifération, souvent
pleine d’arrières pensées.
De
la pièce de monnaie romaine au dollar américain, des timbres aux médailles, ils
étaient et sont par milliers dans nos poches et sous nos yeux pour toujours
répéter le portrait du pouvoir et les taxes ou messages qui les accompagnent.
Parfois
les minis sont plus sentimentaux comme les miniatures, ou satyriques comme les
silhouettes mais ils restent toujours les champions de la circulation du portrait
de haut en bas et d’un bout à l’autre de la société.
OBJECTIFS....
Dès
son arrivée, la technique photographique fait bon ménage avec les autres
médiums; elle les reflète, les complète, les répète. À l’époque de l’impressionisme
les peintres font leurs propres photographies
pour ensuite réaliser leurs tableaux comme Caillebote et Degas et vice-versa,
les photographes sont peintres comme Jacques Henri Lartigue (1894-1986)
La
photo d’art copie le portrait mondain et même les anciens styles de peintures
tandis que de nouveaux marchés s’ouvrent; le reportage sur les célébrités ou
les événements mondains gagnera les sports et la vie politique. L’objectif
témoigne de tout avec frénésie; l’identité est (avant de devenir la photo
d’identité) la pièce centrale de cette prolifération de millions de visages
sous les flashes de cette nouvelle invention.
FAMOUS, CÉLÈBRE, BERÜHMT ET FAMOSO......
La
célébrité est un phénomène à géométrie variable dont l’ampleur est relative
suivant les époques et les pays. De la célébrité absolue, mondiale, icônique,
qui grandit d’heure en heure: la
Joconde, Marilyn, Obama, à la célébrité dans un milieu, un
cercle des spécialistes, on trouvera des gammes infinies de causes et d’objets;
certains seront célèbres pour leur vie, d’autres pour leurs oeuvres, d’autres
sans raison si ce n’est le destin qui les a propulsé malgré eux sur un terrain
riche en événements.
Nous
avons choisi quelques exemples classiques du monde de l’art et du spectacle.
L’explosion
des médias change totalement cet aspect de la célébrité: ce ne sont plus le
talent, le génie, l’intelligence qui sont mis en évidence mais l’individu
transformable en un produit de consommation, valeur ajoutée à un parfum, une
voiture, un soda. Progressivement la célébrité n’est plus qu’une caution à une politique
ou un système social
(voyez
les voyages des stars en Union Soviètique durant la guerre froide ou ceux des
actrices d’Hollywood sur les champs de bataille américains)
Le
monde des marques utilise les célébrités à tel point que la question se pose de
savoir si ce n’est pas le produit qui finalement est devenu la star comme dans
le cas des célèbres chaussures à semelles rouges de Louboutin.
Ex. les films “Paris
à tout prix”, “The bling ring”.....
TU ME PEINS, JE TE
PEINS PAR LA
BARBICHETTE.....
Dans leurs perpétuelles
interrogations les artistes trouvent face à leur miroir, un champ
d’investigation sans fin et les autoportraits ont toujours été sources de chefs
d’oeuvres à répétition comme pour Rembrant et Van Gogh. D’autres fois ils se prennent pour modèles les uns les
autres, soit parce qu’ils vivent en phalange à la Villa Médicis ou à la Ruche, soit par amitié ou
hommage.
C’est
aussi dans ces réunions de peintres l’occasion de faire des exercices de
recherche en toute liberté puisqu’ils sont à la fois auteurs, commanditaires,
et modèles.
Courbet
nous donnera dans ce sens une série d’autoportraits en dehors de toute
convention d’un goût romantique teinté de bizarrerie: à la pipe, au chapeau,
les cheveux tirés en arrière, le regard fou ou dans l’ombre totale.
À Florence
les grands ducs de Toscane prendront l’habitude de commander des autoportraits
à tous les peintres, constituant ainsi dans le célèbre “corridor de Vasari”,
qui traverse l’Arno et relie les Offices au Palais Pitti, une collection
extraordinaire de 200 oeuvres majeures.
DANIEL OGIER
(Bourg-de-Péage
1945)
“Oratoire pour les inconnus qui ne seront jamais...”
Sept. 2013
Tête de cire, tissu noir, photographies, cube de verre
et carton
Ce petit oratoire placé au début de l’exposition
“Pièces d’identité” propose, en contrepoint aux multiples visages réunis à
cette occasion, une réflexion sur les millions d’êtres humains disparus de
notre mémoire. Tous ont vécu à leur place un rôle dans l’aventure
humaine, mais nous ne sauront jamais si leurs vies ont modifié le cours de
l’histoire et dans quel sens. Le
visage voilé est caché, sans l’être vraiment, et il semble contempler dans
l’urne du destin les photos de ceux qui l’ont précédé ou le suivront dans la
chaîne de la vie : la chose noire présente dans toutes
les oeuvres de l’artiste matérialise ces questions sans réponses.
Collection de l’artiste Romans
ANDY WARHOL
(Pittsburgh 1928 –
New York 1987)
“Portrait de Marilyn”
Sérigraphie sur
carton 91 x 91 cm.
2º Edition, vers 1970, édition de 250 ex.
Au dos écrit en
noir “Fill in your own signature”
“Published by
Sunday B. Morning”
L’oeuvre est à l’origine créée en 1962 après la mort
de Marylin, d’après la photo de l’affiche du film “Niagara”. Au départ il prend
des photographies en noir et blanc puis il les colorie et les reproduit par la
technique de la sérigraphie. Il a fait ainsi les portraits de Marilyn,
Elisabeth Taylor, Elvis Presley, Marlon Brandon, etc..
À partir de 1963 il emménage à la “Factory” et recrute
énormement d’assistants qui vont faire à sa place toutes ses reproductions qui
font de lui un business-man. Son idée était de produire de
l’art “en masse”. Dans ces sérigraphies il est écrit au dos “ Fill in your own signature”, une manière de dire
c’est vous l’artiste , vous pouvez signer l’oeuvre. Warhol stigmatise la société de consommation
américaine et la standardisation des produits.
Collection privée Paris
VIDÉO SUR LE PARCOURS DE L'EXPOSITION :
INAUGURATION LE 25 OCTOBRE 2013
Philippe Drésin, Maire de Romans fait son discours entouré de Latifa Chay, adjointe déléguée à la culture, à la jeunesse et aux relations internationales, et les deux commissaires de l'exposition, Daniel Ogier et Jorge Rodríguez de Rivera.
à gauche, le président de l'association "la chapelle de Romans" Jean Pierre Devoize
Curiosité, découverte et étonnement dans une ambiance chaleureuse
C'est en effet le vendredi 25 octobre à 18h que le maire de Romans, Monsieur Philippe Drésin par un discours saluant cette première exposition proposée par
"l'association LA CHAPELLE DE ROMANS" et avec la participation de la Ville ouvrait la liste que nous espérons longue des manifestations de ce type.
Après avoir confirmé son net soutient à l'association et à son projet culturel, c'était au tour de Latifa Chay de retracer le parcours de l'association, l'intégration à la vie sociale et culturelle romanaise et le projet de rayonnement régional et national à travers des productions de haut niveau.
Le public nombreux découvre ensuite la première salle où un appareil Taly émergeant d'un grand voile noir les flashe puis entre dans l'exposition où les commissaires, alternativement sur les oeuvres anciennes ou modernes leur font découvrir l'histoire de ces pièces souvent remarquables. Le photographe Raymond Meyer, présente son mur de visages du monde et la visite se continue dans un grand intêret général.
Nombreux sont ceux qui au cours du verre trés sympatique qui termine cette soirée, confirment vouloir venir revoir en tête à tête ces oeuvres de grande qualitée qui nous questionnent et nous séduisent.
VISITE GUIDÉE PAR LES COMMISSAIRES DE L'EXPOSITION